De retour de chasse

Chuunin Rang B Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 26/12/2008

Par un temps clair et dégagé de nuages pouvant obscurcir le soleil toujours si agréable lorsqu'il embrasse la peau de son corps si attendrit lors de grande chaleur. Le vent soulevant légèrement ses cheveux courts ainsi que faisant danser les quelques tissus accrocher au bout de son arc. Marchant dans l'allée dégagé de l'herbes ou de feuilles car souvent fréquenté par les passants, voyageurs ou simples ninjas qui quittent et reviennent de ce lieu qu'est le village de Konoha, Flore rentrait du petit bois se trouvant à moins de deux kilomètres des portes du village.

Deux petits mammifères accrochés par de simples ficelles sur le sommet de son arc, attraper lors de sa chasse journalière depuis que son père est blessé car ayant trébucher dans un petit ravin, la jeune femme se dirigea vers les deux anneaux servant d'entrée. Elle passa devant les gardes qui arborait chaque jour ce lieu pour guetter les départs et arrivées dans le village. Un léger clin d'œil de sa part pour motiver les troupes ou les réveiller si besoin, Flone adorait les taquiner. Très joviale du matin au soir, elle était très apprécié de la plupart des habitants. pour le moment elle consacre son temps à son père tant qu'on ne lui donne pas du travail à faire pour le village. Passant rapidement devant deux ou trois hommes, à l'allure de simples commerçants, cela montrait qu'elle arrivait dans la zone ou le bruit était le plus présent. Des petites tentes alignées parfaitement contre de simples murs servant à séparer des habitations ou encore des boutiques, la jeune kunoishi ne s'attarda point à discuter mais se dirigea directement dans une boutique pour vendre ces proies. Argent dans une mains, l'arc dégagé de ces poids, elle était enfin libre de faire ce qu'elle souhait. L'argent, elle le déposera dans la soirée à ses parents ou elle vit encore à ce jour. Sa simple envie du moment était de s'amuser un peu avec d'autre personnes de son âge, des ninjas pour la plupart. Elle fit cela toute la journée jusqu'à l'aube avant d'enfin rentrée ce coucher avant une journée qui pourrait être totalement différentes. Petites pièces posé sur la table, elle s'en alla directement dans sa chambre, ce lieu qui lui est réserver et totalement décoré à sa guise.

Gennin Rang C Nombre de messages : 6 Age : 30 Date d'inscription : 28/12/2008

[hj : Je ne savais pas trop comment répondre à ton post, car je ne pouvais pas entrer chez toi ! Finalement, ce sera à toi de me trouver^^]

La Lune brillait dans le ciel et ses étoiles éclairaient le village de Konoha quand Karasu se leva. Enchantée, elle songea qu'aujourd'hui, comme tous les autres jours, elle était la première de Konoha à penser que c'était le matin. Elle aimait à sortir avant l'aube, surprendre la nature encore endormie, observer les insectes avant qu'ils ne se réveillent, avant que les oiseaux chantent leurs premiers chants. Pieds nus, elle glissa de son lit et créa une illusion de silence pour que sa mère ne l'entende pas. Elle était comme tous les autres, contre ses sorties nocturnes -ou matinales, selon la pensée de Karasu. Elle descendit un vieil escalier de bois sans en faire grincer une seule marche et traversa la cuisine. Sur la table, sa mère, sachant qu'elle allait encore une fois sortir, lui avait écrit, surement quelques heures auparavant, un message lui disant qu'il la voudrait dans son lit au matin, sinon... Elle sourit de la menace et jeta le papier par terre. Elle ouvrit la porte, et fut libre.

En cette belle matinée, les astres éclairaient tout comme en plein jour. Karasu aimait flâner entre les grands bâtiments de Konoha, en chantonnant une berceuse de sa mère. Elle aimait sentir le vent sur sa peau, les frissons lui remonter dans le dos. Elle aimait croire que c'était le matin, alors que tous pensaient que c'était la nuit. La petite fille courrait nus-pieds, jouait dans tous les coins de la ville à de folles courses-poursuite avec les oiseaux, sans penser aux réprimandes qui lui tomberaient dessus quand on verrait les carrioles renversés, les paniers retournés, les étals fermés pour la nuit ouverts et les traces de dents sur les poires et la viande.

Le Soleil commençait à se lever sur Konoha, et l'absence de nuages promettait une journée accablante de chaleur. L'enfant abandonna ses compagnons de jeux imaginaires pour marcher plus tranquillement dans la ville qui s'éveillait. Bientôt, il lui faudrait rentrer chez elle pour le petit déjeuné, sinon sa mère allait s'inquiéter. Mais d'ici là, elle pouvait encore s'amuser.

Chuunin Rang B Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 26/12/2008

Sortant très tôt le matin pour espérer trouver ces animaux en train de se nourrir, dont sortit de leurs terriers, Flone, toujours équipée de son arc ainsi que de quelques flèches dans son carquois partie de chez elle après une bonne nuit, malgré qu'elle fut courte, et quitta son chez soi sans même réveiller ces parents. Fermant la porte derrière elle puis marcha dans le calme dans les ruelles du village. Enfin les ruelles était simplement les petits chemins venant aux diverses habitations mais à cette heure-ci, on ne pouvait pas réellement dire qu'elle était très vivante.

Malgré un début de matinée très prometteur car voyant le peu de nuages surplombant sa tête qui ne pouvait qu'annoncer un temps plus qu'ensoleillé dans la journée qui allait s'en suivre, la température n'était pas pour autant des plus agréable pour le moment en tout cas. Le vent présent dans ces chemins si étroit était légèrement trop froid pour le corps de la jeune chunnin, peu habillée à son habitude pour se sentir à l'aise, enfin elle n'y pourrais rien et ne comptait point faire demi-tour. Poursuivant sa route vers le centre ville qui la guidera vers la porte du village pour retourner dans les bois pour encore chasser à la place de son père qui est encore inapte à y aller par lui-même. Puis son regard croisa une très jeune demoiselle qui la bouscula très légèrement car déboulant d'un petit chemin.

Désolé jeune fille, j'étais dans mes pensées et je ne t'ai pas vu arrivé, tu vas bien j'espère ?

N'ayant pas trop réfléchit à l'heure qu'il pouvait être en ce moment, l'idée lui parvenu très rapidement ensuite et elle ne lui laissa même pas le temps de lui répondre, elle qui sautillait sur place comme si elle jouait et que rien ne pouvait l'interrompre.

Mais...mais que fait tu ici à cett heure, tu devrait pas être dans ton lit en ce moment ? Tes parents savent que tu te trouves ici ? Montre moi ou tu habites que je t'accompagne ?

Plusieurs questions sortirent de la bouche de la jeune femme qui lui fit oubliée ces ancienne pensées avant l'arrivée de cette jeune personne totalement inconnu à ces yeux.

Gennin Rang C Nombre de messages : 6 Age : 30 Date d'inscription : 28/12/2008

Karasu continuait de marcher lentement, quand il lui vint une idée. Elle observa attentivement les alentours avant de jeter son dévolu sur une touffe de pissenlit qui poussait là. Elle s'approcha des fleurs lentement, l'expression très sérieuse, les sourcils légèrement froncés aux dessus de ses yeux bleus. Elle s'arrêta devant le pissenlit le plus grand, dont les aigrettes s'agitaient lentement au matin. Elle se baissa sur un genou et entama sa révérence, qu'elle termina par une pirouette riante. Le pissenlit dû acquiescer à sa question muette, car elle lui sourit et le remercia d'un signe de tête, avant de partir en courant.

Sous ses yeux émerveillés, un dragon la survola. Il avait la couleur d'une pousse verte et ses écailles paraissaient végétales. Ses griffes étaient blanches et longues comme des racines profondément enfouies, mais ses ailes étaient faites d'une texture légère comme des nuages, aigrettes d'un pissenlit magicien métamorphosé en dragon imaginaire. Elle se mit à courir, le dragon derrière elle, quand soudain, alors qu'elle sortait d'une petite ruelle, un étrange obstacle absent auparavant se trouva sur son chemin. Elle essaya de ralentir, mais il était trop tard. Elle percuta de plein fouet la jeune dame qui se trouvait là. Elle recula d'un pas en bredouillant des excuses. Son dragon avait disparu.

"Désolé jeune fille, j'étais dans mes pensées et je ne t'ai pas vu arrivé, tu vas bien j'espère ?"

Karasu hocha la tête, mais l'autre enchainait déjà.

"Mais...mais que fait tu ici à cette heure, tu devrait pas être dans ton lit en ce moment ? Tes parents savent que tu te trouves ici ? Montre moi où tu habites que je t'accompagne ?"

La gamine grimaça.

"Dans mon lit ? Vous croyez qu'il est trop tôt ? Bah vous, z'êtes pas dans votre lit, nan ? Ma Maman elle sait que je suis dehors. Si elle le voulait vraiment beaucoup, elle fermerait mieux la porte, mais je sais que même si elle me gronde, elle ne m'en veut pas trop. Du moment que je ne suis pas fatiguée après ! Vous êtes qui, vous ?"

Chuunin Rang B Nombre de messages : 15 Date d'inscription : 26/12/2008

Flone entendit pour la première fois les parole de la jeune enfant devant elle qui lui faisait des grimaces. Ce simple geste la fit grandement sourire car cela lui rappeler quelques années de sa vie. Remettant ces quelques cheveux derrières ces oreilles, par pure habitude que besoin, peu être une simple touche d'élégance qu'elle apporte dans ce geste si anodin. Écoutant avec calme la jeune demoiselle qui avait de grande explication pour une fille de son age, elle s'abaissa à sa taille en s'asseyant sur ces talons.

Dans mon lit ? Vous croyez qu'il est trop tôt ? Bah vous, z'êtes pas dans votre lit, nan ? Ma Maman elle sait que je suis dehors. Si elle le voulait vraiment beaucoup, elle fermerait mieux la porte, mais je sais que même si elle me gronde, elle ne m'en veut pas trop. Du moment que je ne suis pas fatiguée après ! Vous êtes qui, vous ?

De bien belle parole sure et directe sortie de la bouche d'une enfant de cet age. Une façon aussi libre de parler que seuls les jeunes de cet age oserai faire envers des inconnus bien plus vieux qu'eux.

Oui je suis également dehors à cette heure-ci, c'est vrai tu as bien raison. Excuse moi. Si tes parents te laisse sortir, alors je n'en vois pas d'inconvénient, va à ta guise dans ce village faire ce que bon te semble. Tu as bien raison de toute façon de sortir si tôt, c'est à cette heure-ci qu'on est le plus tranquille et que l'on a l'impression que l'on possède une grande partie du village.
Autrement comment je m'appelle ? Et bien, je me nomme Flone petite demoiselle avec beaucoup de caractère, et toi, comme tes parents t'ont nommé ?